Bonjour à tous et toutes,
Imaginez un tout jeune garçon hydrocéphale ou une petite fille phobique du lait puis du toucher, ou bien encore une maman qui n’arrive pas à enfanter…
Que peuvent-ils bien avoir en commun?
Surtout quand vous saurez que l’hydrocéphalie du jeune garçon s’est résorbé toute seule et qu’il n’a pas eu besoin de se faire opérer,
Que la phobie de la petite fille qui était sur le point de se faire interner pour troubles psychotiques a retrouvé un comportement normal et joyeux,
ET que la maman qui n’arrivait pas à enfanter va bientôt donner naissance à des jumeaux…
Vous donnez votre langue au chat? Et bien justement c’est bien de langue ou plutôt de parole dont il fut question pour ces trois personnes.
Ce qu’elles ont en commun est justement une parole vraie
comme le disait mon ancien mentor Willy Barral dans « Le corps de l’enfant est le langage de l’histoire de ses parents » 1). Une parole vraie qui libère des émotions si cachées qu’elles ne peuvent QUE s’exprimer par le corps.
Alors s’opèrent de petits miracles que la parole, le sens, le lien trouvé entre une information révélée et sa manifestation psychosomatique aigüe permettent de manifester:
Pour le petit garçon hydrocéphale de 4 ans, il s’agissait des larmes de sa maman qui n’avait pas dit à son fils que son père était mort, de peur de le faire souffrir et parce qu’il était trop petit pensait la mère. Pendant 2 ans, la mère dit seulement à son fils que son père était parti en avion et ne pleura jamais devant lui la mort de son mari.
En apprenant la mort de son père, lors d’un entretien avec le thérapeute fait en sa présence, l’enfant pu alors pleurer les larmes de sa mère et laisser s’exprimer sa nouvelle tristesse d’apprendre qu’il était orphelin de père; en revanche plus besoin pour lui de porter les larmes qui ne lui appartenaient pas dans sa tête ! Son hydrocéphalie se résorba en quelques mois suite à cette épiphanie.
Pour la petite fille phobique du lait puis du toucher, il s’agissait des drogues dures que sa grand-mère prenait en présence de sa mère petite et qui faillit en mourir.
Ici encore l’histoire partagée entre la mère et la fille fit disparaître comme par enchantement la phobie de cette petite fille qui n’avait plus besoin d’exprimer par son comportement, le douloureux secret de sa mère qui à son âge avait vu sa propre mère défaillir sous l’effet de la drogue.
Marquée jusqu’à ce jour par l’impuissance de sauver sa propre mère d’une mort qu’elle pensait certaine, se sentant coupable parce que sa mère lui répétait sans cesse qu’elle ne pouvait pas vivre librement à cause d’elle, le traumatisme s’inscrit profondément puis fut ‘refoulé’; c’est ainsi que toutes ces émotions non exprimées avaient fait leur chemin et s’exprimaient à la génération suivante dans la phobie de sa propre fille. Celle-ci en fin libérée, n’eut plus besoin d’exprimer sa phobie, ayant compris que ces émotions ne lui appartenaient pas! Elle ne fut donc pas internée pour comportement psychotique et retrouva sa joie de vivre.
Pour la jeune maman qui enfin enfanta, l’enquête fut plus complexe mais révéla combien il avait été difficile d’être mère aux générations précédentes marquées par les camps de concentration puis par le désamour manipulateur, …alors en effet il était devenu « dangereux » de devenir mère dans l’inconscient de cette future maman. C’est à nouveau une parole vraie partagée avec les grands-parents de cette jeune femme qui rétablit le passage de la vie et d’une transmission intergénérationnelle apaisée qui lui permit de tomber enceinte.
Mais que s’est-il vraiment passé, comment une simple parole, une prise de conscience, peut-elle faire ainsi disparaître des symptômes aussi grave?
Si vous êtes arrivé.es jusqu’ici c’est que vous pressentez peut-être que l’épigénétique, et la physique de l’âme y sont pour quelque chose pour manifester si rapidement de tels changements au coeur de la matière du corps.
Vous voulez en savoir plus? et bien je vous invite à vous inscrire à ma prochaine conférence sur le Canal de l’âme en cliquant sur ce lien:
Vous pouvez aussi en savoir plus ici ou prendre rendez-vous directement, si ce sujet résonne en vous. Les vacances prochaines vous offrent le temps pour soi pour mettre en route votre enquête.
Au plaisir de vous accompagner dans cette aventure passionnante et libératrice!
Corinne Bondu
1) Les histoires des deux jeunes enfants sont extraites du livre du psychanalyste Willy Barral « Le corps de l’enfant est le langage de l’histoire de ses parents ». Celle de la future maman est celle d’une patiente.
bonjour. j ai suivie votre conférence sur le canal de l âme. je suis très intéressé par vos ateliers. cependant je ne serai pas disponible pour le 1er , le 19 juillet.
Prévoyez vous d autres ateliers à d autres périodes?